Dans une déclaration faite le mardi 31 décembre 2024, la cellule de communication de Me Samuel Mbemba a réagi aux différentes publications faites sur les réseaux sociaux contre le vice-ministre de la Justice.
L’opinion a observé les 29 et 30 décembre 2024 plusieurs publications du parti politique Envol de Delly Sesanga sur les réseaux sociaux visant Me Samuel Mbemba Kabuya, vice-ministre de la Justice et Contentieux international, en rapport avec l’arrestation de Monsieur Merdi Mazengo.
La cellule de communication de Me Samuel Mbemba Kabuya informe l’opinion que l’arrestation de Monsieur Merdi Mazengo est liée d’une part, à des faits de viol commis par ce dernier en juillet 2024 et d’autre part, à l’infraction d’imputation dommageable qu’il a commise à l’endroit de Me Samuel Mbemba Kabuta à travers les réseaux sociaux, et pour lesquels il était en fuite à Brazzaville en République Démocratique du Congo.
S’agissant de cette dernière infraction, Monsieur Merdi Mazengo avait publié le 23 octobre 2024 sur les réseaux sociaux que « le faux député Israél Bondo était premier suppléant de Samuel Mbemba et que ce dernier était révolté de se voir remplacer par la fille du vice-ministre à l’Assemblée nationale ». Ce qui est totalement faux.
Cependant, Merdi Mazengo a enchaîné, durant pratiquement une semaine, son lynchage médiatique allant jusqu’à soutenir que « Samuel Mbemba ne répondait pas à ses publications parce qu’il était incapable de faire face à ses révélations accablantes ». Ces publications sont encore présentes sur les comptes des réseaux sociaux de Merdi Mazengo.
Telles sont les raisons de la plainte et de l’arrestation de Merdi Mazengo. Ceci n’a rien de politique.
Quant à l’acharnement médiatique dont Me Samuel Mbemba Kabuya fait l’objet de la part du parti politique Envol qui, à priori, n’est pas concerné dans cette affaire, "nos avocats n’excluent pas la possibilité d’une plainte contre le responsable statutaire de ce parti politique si cela continue".
La justice fera librement son travail et établira s’il y a une main politique derrière les comportements de Merdi Mazengo.
Dk